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Bien-aimés dans le Seigneur, que la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence et sa joie ineffable puissent vous être multipliée. Nous avons connus des problèmes techniques depuis le week-end dernier, raison pour laquelle nous n’avons pas continué avec notre série d’enseignements.

Cette semaine est la dernière de ce mois de Février et nous avons dit : « Je travaille non pour la nourriture qui pourrit, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle. » C’est le choix que tout enfant de Dieu doit faire. Car, cela nous est conseillé par notre Seigneur Jésus-Christ. Le choix de ne pas vivre pour le monde, mais de vivre pour Dieu et pour les intérêts de son royaume sur terre.

Lisons ce que dit le Seigneur Jésus dans Jean 6 :27. Il est écrit :
«  Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle, et que le Fils de l’homme vous donnera; car c’est lui que le Père, que Dieu a marqué de son sceau. »

Lisons d’autres versions pour voir un peu plus clair :

Le semeur :

« Travaillez, non pour la nourriture périssable, mais pour celle qui dure pour la vie éternelle. Cette nourriture, c’est le Fils de l’homme qui vous la donnera, car Dieu le Père lui en a accordé le pouvoir en le marquant de son sceau. »

Français courant :

« Travaillez non pas pour la nourriture qui se gâte, mais pour la nourriture qui dure et qui est source de vie éternelle. Cette nourriture, le Fils de l’homme vous la donnera, parce que Dieu, le Père, a mis sur lui la marque de son autorité. »

Cette exhortation est tirée de l’enseignement de notre dernier culte de dimanche de Février : « Ma plus grande révélation sur la volonté de Dieu. »

Comme vous le savez, du moins pour ceux qui nous suivent, le mois de février a été déclaré : « Le mois de la volonté de Dieu ». Tous les enseignements dans nos cultes et nos moments de prière étaient basés sur la volonté de Dieu. S’il faut que je résume, nous avons vu que pour connaître la volonté de Dieu, il est crucial que nous puissions premièrement connaître Dieu. La connaissance de Dieu est ce qui nous garantit la vie éternelle. Il faut s’assurer d’être dans le véritable car rien ne vaut notre éternité. Il ne faut pas se vanter d’une quelconque religion mais seulement de connaître Dieu et j’insiste, le Véritable Dieu.

Il est écrit dans Jean 17 :3 :

« Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. »

Notons, qu’il y a connaître le seul vrai Dieu et Jésus-Christ qu’Il avait envoyé. Faisons attention à tous ceux qui parlent de « Dieu » sans faire mention de Jésus. Personne ne peut connaître Dieu sans premièrement connaître Jésus. C’est Jésus qui nous donne la révélation du Père. C’est Lui le chemin qui nous mène vers le Père. Il est le seul médiateur entre Dieu et les hommes.

C’est le tout premier pas dans la quête de la volonté de Dieu dans nos vies. Parce qu’il est impossible de notre connaître la volonté d’une personne que vous ne connaissez pas.

C’est quoi la volonté de Dieu ?

Lorsque nous parlons de la volonté de Dieu, de manière brève, nous faisons allusion :

Une des grandes différences entre nous et le Seigneur Jésus

Avant d’aller plus loin, permettez-moi de dire une chose qui nous aidera à avoir une bonne base sur la volonté de Dieu. Une des grandes différences entre nous et le Seigneur Jésus est que ce dernier en venant sur terre, connaissait déjà la volonté de Dieu pour sa vie. Il connaissait ce qui était écrit dans les Saintes-Ecritures sur Sa vie. Il savait la raison de son existence déjà en venant dans le monde. C’est ainsi qu’à 12 ans, lorsqu’il est resté au temple et que ses parents l’ont retrouvé, il leur a dit dans Luc 2 :49:

« Il leur dit: Pourquoi me cherchiez-vous? Ne saviez-vous pas qu’il faut que je m’occupe des affaires de mon Père? »

A 12 ans, Jésus savait déjà qu’Il devait s’occuper des affaires de Son Père. De quel père faisait-il allusion ? De Joseph ? Non, pas du tout. C’est dans le temple qu’il se trouvait lorsqu’il parlait ainsi. Il faisait allusion à Son vrai Père, Dieu, le Père céleste. Si c’était les affaires de Joseph, il ne serait pas resté au temple.

Mais, avant l’âge de douze ans, lisons ce que nous dit Hébreux 10 :5-9 :

« 5 C’est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit: Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande,
Mais tu m’as formé un corps
; 6 Tu n’as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché. 7 Alors j’ai dit: Voici, je viens (Dans le rouleau du livre il est question de moi) pour faire, ô Dieu, ta volonté. 8 Après avoir dit d’abord: Tu n’as voulu et tu n’as agréé ni sacrifices ni offrandes, ni holocaustes ni sacrifices pour le péché 9 (ce qu’on offre selon la loi), il dit ensuite: voici, je viens pour faire ta volonté. Il abolit ainsi la première chose pour établir la seconde. »

Voyons ce qui est en gras :

C’est ce qui justifie pourquoi Jean Baptiste en le voyant dise : « Voici l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. » (Jean 1 :29)

Dieu a formé un corps au Seigneur Jésus dans le but qu’il verse son sang pour nous afin de nous racheter du péché.

Quelle était la volonté de Dieu ? Sauver l’homme de l’emprise du péché. Le péché qui emmène les malédictions, le mal, les maladies etc. Le remède était que l’homme en soit délivré afin qu’il sorte aussi de l’emprise du royaume des ténèbres. Et, le Seigneur Jésus savait cela quand il venait dans le monde. Il n’a pas tâtonné. Bien que naturellement, avant qu’il ne commence pleinement son ministère, il faisait le métier de son père biologique Joseph. (Marc 6 :3) Il était charpentier. Notons ici, qu’il y a d’une part ce que Dieu ne voulait plus et pour ce, Jésus est venu pour faire ce que Dieu voulait. C’est très important.

Quelle est la grande différence qu’il y a entre nous et le Seigneur Jésus ?

Il était déjà enfant et fils de Dieu. Il est né enfant de Dieu et devenu fils de Dieu. C’est-à-dire qu’Il n’avait pas besoin de se convertir ou de naître de nouveau comme nous autres. En tant qu’enfant et fils de Dieu, il connaissait déjà la raison de son existence, la volonté de Dieu pour sa vie en venant dans le monde. Une plus grande preuve est qu’à 12 ans, il ne s’est pas inquiété qu’il est resté seul au temple. Il était occupé avec les affaires de son Père.

En d’autres termes, la volonté de Dieu c’est « Les affaires du Père céleste » que chacun de ses enfants ou ses fils doit accomplir sur terre. Remarquez, que je dis enfant et ensuite fils.

Pourquoi enfant, puis fils ?

Lisons un peu :

Esaïe 9 :5 :
« Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule; on l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix. »

C’est une prophétie qui parle de notre Seigneur Jésus-Christ.

Ainsi, quand il était encore enfant, à 12 ans, sachant et faisant les affaires de son Père, il était interrompu et il a obéi. Quand ses parents sont venus le chercher au temple, il n’a pas insisté et il est parti avec eux. Pourquoi ? Parce qu’il était encore enfant. Un enfant n’a pas trop de choix. Il fait tout ce qu’on lui demande.

Luc 2 :51-52 :

« Puis il descendit avec eux pour aller à Nazareth, et il leur était soumis. Sa mère gardait toutes ces choses dans son cœur. Et Jésus croissait en sagesse, en stature, et en grâce, devant Dieu et devant les hommes. »

Cependant, il n’est pas resté enfant. Il grandissait. Jusqu’à l’âge adulte quand il est allé se faire baptiser. Voici une scène qui s’est passée quand Jésus a commencé proprement son ministère dans Luc 8 :19-20 :

« La mère et les frères de Jésus vinrent le trouver; mais ils ne purent l’aborder, à cause de la foule. On lui dit: Ta mère et tes frères sont dehors, et ils désirent te voir. Mais il répondit: Ma mère et mes frères, ce sont ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la mettent en pratique. »

Voyez-vous la différence entre Luc chapitres 2 et 8 ? A Luc 2, c’était l’enfant Jésus, mais dans Luc 8, c’était le Fils de Dieu. Plusieurs fois, il répétera : « le fils de l’homme, le fils… »

Revenons à notre question : « Pourquoi travaillez-vous ? »

Je vous pose la question : «Pourquoi travaillez-vous ? » Nous avons vu que Jésus a douze ans était au courant qu’il devait s’occuper des affaires de son Père céleste.

Le mot grec traduit par « travaillez » dans Jean 6 :27 est « Ergazomai ». Il se traduit aussi par : Travailler, faire un travail, commercer, faire des gains par le commerce, faire, œuvrer, exercer, accomplir, commettre, exploiter, produire, travailler pour, gagner par le travail, acquérir.

Relisons Jean 6 :27 en question :

« Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste pour la vie éternelle, et que le Fils de l’homme vous donnera; car c’est lui que le Père, que Dieu a marqué de son sceau. »

Le Seigneur Jésus nous montre qu’il y a deux raisons pour lesquelles l’homme peut travailler :

Ou encore, je dirai que le Seigneur Jésus nous révèle la bonne raison, la vraie raison pour laquelle nous devons travailler. Ici, le travail, c’est dans le vrai sens du mot. Rien à voir avec quelque chose de spirituel.

Voyons quelques définitions du dictionnaire français de « travailler » :

Le Seigneur nous conseille et nous dit de travailler, certes, non pas pour la nourriture qui périt, mais pour celle qui subsiste jusqu’à la vie éternelle. Allons dans les Saintes-Ecritures pour voir un passage qui va encore nous éclairer.

Il s’agit de Jean 4. L’histoire commence au verset 1er jusqu’au verset 42. Je vous conseille de lire toute l’histoire. Il s’agit de notre Seigneur Jésus et la femme samaritaine. Au début, il y a la conversation, je dirai même la discussion de Jésus et de la femme samaritaine. Jusqu’à ce que celle-ci fut convaincue que Jésus est le Messie et est allé l’annoncer dans sa ville.

Lisons du verset 27 à 42, je vais laisser les versets afin de nous permettre de nous retrouver comme c’est un long texte.

« 27 Là-dessus arrivèrent ses disciples, qui furent étonnés de ce qu’il parlait avec une femme. Toutefois aucun ne dit: Que demandes-tu? Ou: De quoi parles-tu avec elle? 28 Alors la femme, ayant laissé sa cruche, s’en alla dans la ville, et dit aux gens: 29 Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait; ne serait-ce point le Christ? 30 Ils sortirent de la ville, et ils vinrent vers lui. 31 Pendant ce temps, les disciples le pressaient de manger, disant: Rabbi, mange. 32 Mais il leur dit: J’ai à manger une nourriture que vous ne connaissez pas. 33 Les disciples se disaient donc les uns aux autres: Quelqu’un lui aurait-il apporté à manger? 34 Jésus leur dit: Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre. 35 Ne dites-vous pas qu’il y a encore quatre mois jusqu’à la moisson? Voici, je vous le dis, levez les yeux, et regardez les champs qui déjà blanchissent pour la moisson. 36 Celui qui moissonne reçoit un salaire, et amasse des fruits pour la vie éternelle, afin que celui qui sème et celui qui moissonne se réjouissent ensemble. 37 Car en ceci ce qu’on dit est vrai: Autre est celui qui sème, et autre celui qui moissonne. 38 Je vous ai envoyés moissonner ce que vous n’avez pas travaillé; d’autres ont travaillé, et vous êtes entrés dans leur travail. 39 Plusieurs Samaritains de cette ville crurent en Jésus à cause de cette déclaration formelle de la femme: Il m’a dit tout ce que j’ai fait. 40 Aussi, quand les Samaritains vinrent le trouver, ils le prièrent de rester auprès d’eux. Et il resta là deux jours. 41 Un beaucoup plus grand nombre crurent à cause de sa parole; 42 et ils disaient à la femme: Ce n’est plus à cause de ce que tu as dit que nous croyons; car nous l’avons entendu nous-mêmes, et nous savons qu’il est vraiment le Sauveur du monde. »

Avant que le Seigneur Jésus n’engage la discussion avec la femme Samaritaine, notons qu’il venait d’effectuer un long voyage. La Bible dit qu’il était fatigué et les disciples sont allés chercher de quoi manger. Cependant, bien que fatigué, le Seigneur Jésus a entrepris un grand travail pour le salut de toute une ville. C’est dans ce passage que nous allons voir la différence entre la nourriture qui périt et celle qui subsiste jusqu’à la vie éternelle.

  1. La nourriture qui périt 

La nourriture qui périt c’est ce que nous mangeons chaque jour. Où vont nos petits déjeuners, nos déjeuners, dîners et/ou soupers ? Tout ce que nous mangeons vont dans les toilettes. Vous pouvez manger le repas le plus cher du monde et boire la boisson la plus chère du monde, mais ils finiront tous aux toilettes. Peu importe la valeur en terme d’argent de ce que nous mangeons, la fin c’est le même endroit : « les toilettes. » Essayons de comptabiliser la somme de tout ce qui est entré dans nos ventres et qui a fini dans les toilettes depuis notre naissance ? Nous investissons des millions, si pas de milliard pour certains d’entre nous dans nos ventres. Est-ce mauvais ? Là n’est pas la question ni le problème.

Voyons cela dans notre passage du verset 31 à 34 :

« 31 Pendant ce temps, les disciples le pressaient de manger, disant: Rabbi, mange. 32 Mais il leur dit: J’ai à manger une nourriture que vous ne connaissez pas. 33 Les disciples se disaient donc les uns aux autres: Quelqu’un lui aurait-il apporté à manger? 34 Jésus leur dit: Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre. »

Les disciples pressaient le Seigneur à manger la nourriture périssable. A lui de leur répondre : « J’ai à manger une nourriture que vous ne connaissez pas. » Jusque là, c’était toujours flou pour les disciples. Je les comprends. Ils ont fait un long voyage et tenaient à ce que leur Maître mange pour reprendre les forces, car il était fatigué. C’est la raison pour laquelle ils étaient allés chercher la nourriture.

Il m’arrive plusieurs fois de dire à ma tendre épouse, le Pasteur Laetitia : « chérie, j’ai faim. Est-ce que la table est prête ou est-ce que je peux trouver quelque chose à manger ? » Quand elle vient ou revient me dire que la table est prête, je lui dis toujours d’attendre. Attend, j’arrive. Laisse d’abord finir ce que je viens de commencer. Plusieurs fois, je me retrouve seul à table parce qu’à force de les faire attendre, ils commencent à manger sans moi.

Les disciples se posaient la question de savoir si quelqu’un lui aurait apporté à manger. Ils insistaient tellement. C’est alors que le Seigneur Jésus leur dira clairement : «Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre. »

Voici comme illustration, le plat le plus cher au monde. Moi, je croyais que c’était le fameux plat de 1800euros, alors qu’il a plus cher que celui-là.

Oscheriyori: Crème de la crème du luxe culinaire indécent, l’Oscheriyori est LE plat le plus cher au monde. Mais avant de le commander, mieux vaut vérifier deux fois que votre compte en banque est bien garni. Pour 175.000 euros (non, il n’y a pas d’erreur de frappe), on vous sert de jolis sushis et sashimis dans…une assiette cubique en or massif de 3,3 kilos. Bien sûr, le plat est à emporter.  Crédit: cliquez ici.

Imaginez ce qui peut être fait avec cette somme ? Mais que certains individus ne dépensent rien que pour un plat ? A suivre…

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